[avis] Les Héritiers d'Homère

c'est sûr qu'ils ne font jamais dans la dentelle mais c'est marqué "globalement satisfaisant"...

Je viens de lire la chronique (un grand merci à Griffe pour me l'avoir scannée et envoyée).

C'est vrai que c'est plutôt gentil, pour du Bifrost.

Bon, il y a pas mal d'erreurs dans cette chronique : le prénom de Nicholas, le nom de famille de Nadège, le résumé de la nouvelle de Romain (c'est la mort du paganisme, pas du christianisme !) et on sent bien que le chroniqueur est un mâle qui se veut particulièrement viril, mais c'est la politique de la revue, non ?

Je mettrai l'intégralité en ligne sous peu.

J'ai eu beaucoup de mal avec le scan, le document image étant dans un format inusité.

Voici quand même les liens auxquels vous pourrez lire cette chronique Bifrost :

http://www.argemmios.com/EDITIONS/1024/bifrost1.jpg

http://www.argemmios.com/EDITIONS/1024/bifrost2.jpg

En la relisant, une autre erreur m'est apparue : pourquoi le chroniqueur ment-il en affirmant que j'ai créé les éditions Argemmios pour promouvoir mes propres écrits puis en prétextant que j'aurais seulement maintenant ouvert ma maison d'éditions à d'autres auteurs ? Je sais que ce mensonge figure sur le net, mot pour mot, il avait déjà été repris par les organisateurs de Trolls et Légendes et j'avais fait corriger. Et je me demande donc qui prend ainsi malin plaisir à mentir sur mon compte et à me faire passer, sur le net, pour ce que je ne suis pas. Quel intérêt à déformer la vérité, à prétendre savoir mieux que moi dans quel but j'ai créé les éditions Argemmios ?

Bref. Je sais que je ne plais pas à tout le monde, comme je sais qu'il existe des gens, dans ce milieu, qui prendront toujours un malin plaisir à voir le mal partout, à souiller les réputations, à affirmer détenir la seule et unique vérité.

Je suis particulièrement choquée par la virulence de cette chronique envers le texte d'Eliane Aberdam, qui est l'un de mes préférés et qui avait été un coup de coeur dès la phase de sélection. Si ce texte tout en émotion mérite un razzie pour Bifrost, alors c'est que décidément, nous n'avons pas les mêmes goûts, la même sensibilité.

Si le scan vous est trop difficile à lire, je recopierai in extenso la chronique, avec ses fautes, histoire qu'on ne vienne pas m'accuser de falsifier, hein.

Bah, c'est le jeu des chroniques de parfois vraiment détester un texte en particulier. Il l'a ressenti, il l'écrit, et il en rajoute un peu pour le plaisir. Les lecteurs de Bifrost ont l'habitude de cette démonstrativité, je ne pense pas que quiconque le prenne vraiment gravement.
Même si oui, directement parler des razzies dans la critique, c'est violent. Bah, si elle l'obtient, ça fera de la pub pour l'antho ! :-D

Sinon, peut-on dire que le chroniqueur mente, à propos de la promotion ridicule ? Il est probablement mal informé ou trop hâtif à se jeter sur les conclusions.
Il faut accepter qu'au vu de l'historique de Argemmios (c'est à dire, en première publication, un roman de ta plume), tu auras souvent à rectifier les gens sur ce qui apparaît comme un comportement stéréotypé mais existant.
Ptêt que si tu leur fais remarquer, ils feront un errata dans le numéro suivant ? (ok j'y crois pas trop )

Sinon, d'accord avec ta formulation de "chronique de mâle viril" (En plus il a rien compris à ma nouvelle comme à mon prénom, il a pas placé "rock'n'roll", pffff) ^^

Hello je passe par ici,

Bon j'ai lu la critique et c'est pas aussi pire que je l'avais cru camarades !

mon ressenti,

1) Nathalie, tu es dans un milieu concurrentiel sur un créneau limité qui ne se porte pas magnifiquement, l'édition, où les gens veulent vendre leurs livres. Ca marche par clans. C'est ainsi, c'était déjà ainsi dans illusions perdues de Balzac... Dans ce milieu faut éviter les relations amicales, on est entre "pros". Il faut essayer de l'être comme on en est capables.


2) sur les accusations d'avoir monté ta maison pour vendre tes livres, c'est nul de leur part, ca ne mérite pas de s'y attarder, faudra juste te blinder et donner des coups dans un punching ball quand t'auras un moment de cafard. Donc va vraiment falloir laisser couler. Tu connais la vérité. Laisse les dire, montre leur d'autres bouquins et ils finiront par se taire et puis tu ne publies pas pour bifrost, mais pour le lectorat. Va falloir aller le chercher celui là à travers les salons, les événements, le bouche à oreille. En ces temps de crise, c'est ça le plus difficile. Mais tu as de beaux livres, tu es ignoble pour faire retravailler tes auteurs et l'odeur du sang et de la sueur, ca fait vendre... .

sur le fond

3) Tu as publié des jeunes auteurs et donc tu n'as pas pris les gens du cénacle. Alors oui les jeunes plumes n'ont pas encore le style ultime et c'est normal mais elles ont l'envie, l'imagination. T'es occupée de défricher les talents. Tu vas retravailler avec eux,ils vont se former, certains abandonner, d'autres partir ailleurs et je souhaite que tes anthos LES FASSENT CONNAITRE et que tu puisses aller plus loin avec certains de ces talents;

4) sur la nouvelle promue pour le razzie, une critique, Nathalie tu l'as dit à Mons, une critique c'est une personne un instantané.. bref Eliane, venant du parangon de l'excès de violence dixit Bifrost je ne sais plus combien, continue d'écrire. Et puis le razzie, pour ce que ca signifie...

et puis zut vous avez le temps de lire des critiques et de les commenter ? feriez mieux de parler de vos livres autour de vous, d'essayer de les faire commander par des bibliothèques municipales. Là, ils sortiront, ils feront connaître argemmios et susciteront quelques commandes qui déclencheront quelques critiques ici et là...

Allez au boulot !!!
Au fait Nathalie, question bête , c'était un sp ou pas pour cette critique ???

"Aube" est une nouvelle vraiment prenante et intéressante, et si Eliane a le razzie, je suis jalouse, ça fait des années que j'en veux un !!!

En tout cas, je le souhaite vraiment à Argemmios : il n'y a rien de tel pour faire vendre une antho. La preuve l'antho Vampires qui a eu un razzie et juste après, Bifrost annonçait un numéro spécial vampires... cherchez l'erreur

Normalement je n'envoie pas de SP à Bifrost, je sais de base que nous n'avons ni les mêmes goûts, ni la même sensibilité. Mais Sam Lermite m'a expressément écrit pour me demander un SP, il avait l'air sympa, sincèrement intéressé, et comme ce n'était pas Cid Vicious, je me suis dit... pourquoi ne pas tenter le coup ?

Pour le temps pris à lire et commenter les chroniques, je considère que ça fait partie de mon boulot d'éditeur (un éditeur plus important aurait une attachée de presse pour gérer tout ça). Il faut bien que je fasse le point SP remis / chroniques parues. Histoire de ne pas envoyer de SP dans le vide, parce que c'est un coût énorme et Argemmios est trop petite et trop peu fortunée pour se permettre de gaspiller de l'argent. D'ailleurs, de publication en publication, le nombre de SP que j'envoie ne cesse de réduire, parce que j'ai vite fini par repérer ceux auxquels ça valait la peine d'envoyer un SP (donc de faire une dépense) et ceux pour lesquels c'était du pur gaspillage. Je commence même à refuser de donner des SP.

Commenter les chroniques, ensuite... eh bien on les commente ici, c'est notre espace, et cela me semble légitime. Je sais que lorsque j'ai commencé, jeune auteur, à publier, j'étais démolie et démoralisée par les chroniques négatives sur mes textes. Je me suis blindée, depuis, mais je me mets à la place de mes jeunes auteurs et je veux qu'ils sachent avec certitude que même s'ils essuient des critiques négatives, moi je persiste à aimer leurs textes et à souhaiter les défendre, je persiste à croire en eux et jamais je ne retournerai ma veste pour hurler contre eux avec ceux qui les conspuent, jamais je ne regretterai d'avoir publié leurs textes. J'ose espérer que cette attitude de ma part réconfortera un peu ceux qui en ont besoin. Voilà.

Je sais, je suis trop méchante.

Cette attitude est tout à fait louable tant que tu ne te laisses pas trop atteindre toi-même. En effet, les jeunes auteurs peuvent être démollis par une critique trop dure et se dire "C'est fini, Argemmios ne voudra plus jamais m'éditer après un tel fiasco", donc, tu fais bien de soutenir ton auteur si tu juges cette critique injustifiée.

Pour ce qui est d'avoir créé ta maison pour t'auto-éditer, c'est une critique que tu entendras tout le temps du moment que tu as édité un livre à toi. Tu ne peux rien y faire et tu n'arriveras jamais à "prouver" le contraire (comment prouver une intention ?)
Tu peux juste discuter rationnellement en disant que, dans la mesure où tu avais déjà été éditée ailleurs avec succès, tu n'avais pas besoin de ça pour te vendre. Mais qu'importe. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. Ceux qui respectent ton travail n'y croiront pas, c'est l'essentiel.

Le pire c'est que ce n'était même pas une auto-publication, mais une réédition augmentée, suite à des demandes de lecteurs, parce que l'antho Royaumes était épuisée et parce que Fleuve Noir ne comptait pas la rééditer. Et si j'ai commencé par publier un texte de ma plume, c'était parce que ça n'engageait que moi si je me plantais, et ça laissait le temps aux manuscrits d'autres auteurs de nous parvenir, d'être dirigés et enfin publiés par nous.

Lu aussi.

Franchement, le bilan de la critique est positif je trouve. Bien sûr, le lecteur n'a pas aimé tous les textes, et oui, il est un peu violent sur certains. Mais bon, on aime rarement tous les textes d'une antho et au global, qu'il dise son ressenti aussi violemment sur certains valorise ceux qu'il a aimés. Par ailleurs, les termes employés pour Aube (niaiserie larmoyante, c'est ça?) sont typiques effectivement d'une différence de sensibilité sur un texte. Donc, quelque chose de fondamentalement personnel au lecteur, qui ne remet pas forcément en cause le texte en soi - il n'est simplement pas le public de ce texte, voilà.

Ceci dit, je trouve sympathique que la Patronne grogne quand on touche ses auteurs :-)


Quant aux raisons qui ont pu te pousser à monter Argemmios, Nathalie, franchement quelle importance en soi? Toi, tu sais. Les lecteurs, tant qu'ils ont de bons bouquins, s'en fichent aussi (ce n'est pas une question que je me pose quand j'achète un livre, franchement). Les auteurs sont contents d'être publiés. C'est finalement quelque chose qui n'intéresse que les critiques, pour resituer ta maison (qui est jeune), et qui disparaîtra tout seul à mesure que le catalogue s'étoffera.


Si, quand même, à la place, il aurait pu mentionner la ligne éditoriale... la leçon à en tirer est peut être de prévoir une phrase de présentation de la maison et de la collection avec le SP? (les critiques sont des flemmards comme les autres, si ils ont un truc à recopier, ils ne vont pas forcément aller le rechercher ailleurs sur le web). Je ne pense franchement pas que ce soit de la malveillance, simplement une erreur recopiée...


en tous cas, je le répète, plutôt une bonne critique dans l'ensemble, il me semble

Citation :

Quant aux raisons qui ont pu te pousser à monter Argemmios, Nathalie, franchement quelle importance en soi? Toi, tu sais. Les lecteurs, tant qu'ils ont de bons bouquins, s'en fichent aussi (ce n'est pas une question que je me pose quand j'achète un livre, franchement). Les auteurs sont contents d'être publiés. C'est finalement quelque chose qui n'intéresse que les critiques, pour resituer ta maison (qui est jeune), et qui disparaîtra tout seul à mesure que le catalogue s'étoffera.

Je n'aurais pas mieux dit. Le lecteur, lui, s'en tape complètement de savoir tes intentions quand il achète un bouquin. Et le plus parlant, c'est toujours le résultat final. Et il est très bien.

J'ai pensé la même chose que Mia- et Blackwatch. Franchement, ce sont des petites querelles limitées au microcosme de l'édition et le lecteur s'en tape.
Seulement, je comprends Nathalie qui n'aime pas qu'on donne l'impression qu'elle utilise les autres auteurs comme simple alibi à son auto-promotion. Mais c'est vrai que la plupart des lecteurs, eux, s'en moquent. Et dis-toi que ceux qui veulent savoir (vraiment savoir et pas médire), se diront que, vu ta notoriété avant de créer Argemmios, ce sont plutôt les auteurs qui ont la chance d'être promus par toi.

Isa a écrit:

Seulement, je comprends Nathalie qui n'aime pas qu'on donne l'impression qu'elle utilise les autres auteurs comme simple alibi à son auto-promotion.

Je le comprends aussi, évidemment, que ça énerve. Je relativise l'impact :-)

Et puis oh... pour toute personne ayant discuté 10 minutes avec Nathalie, c'est une idée complètement farfelue, et pour ceux qui travaillent avec elle, c'est risible.
Il ne faut pas donner d'ailes à la rumeur :-)

N'oublions pas que Bifrost trouve qu'Ayerdhal écrit comme un pied. Ca relativise aussi leurs critiques.

J'aimerais bien écrire comme les pieds d'Ayerdhal

Je viens de la lire. Ben c'est du Bifrost : lapidaire et cinglant. Inutilement dépréciateur. Ce qu'il faut en retenir, c'est qu'il nous encourage à continuer.
Cela ne fait jamais plaisir de voir son style et sa narration dénigrés, mais je le répète, Bifrost a systématiquement critiqué Ayerdhal alors que cet auteur a écrit des pages pur lesquelles je tuerai sans remords.

Bonjour,

Je me permets d'écrire ici avant d'aller me présenter parce que je viens juste de lire la critique de Bifrost et la discussion qui s'en est suivie et je voulais répondre de vive voix étant donné que la critique effectuée par le magazine en question me concerne directement.

Tout d'abord je voulais remercier Nathalie pour le soutien affiché et tous ceux qui m'ont défendue. A vrai dire bien que "jeune auteur" cette critique ne me touche pas vraiment en tout cas elle ne me démolit pas (heureusement). En ce qui concerne la première partie de la critique et le terme de "niaiserie larmoyante" je trouve que c'est une critique compréhensible, je ne suis pas entièrement d'accord au sens où je pense éviter la larme facile et les débordements de sentiments mais écris effectivement des textes qui peuvent sembler complaisants ou larmoyants pour certaines personnes, c'est tout simplement une différence de sensibilité et ce n'est pas très grave.

La deuxième partie de la critique me semble plus sujette à débat, ou me semble en tout les cas moins justifiée. Que l'on n'aime pas le style (ou que l'on regrette l'absence de style ) est une chose qui peut se justifier et qui ne l'est pas ici. Le terme "mauvaise fanfiction" est plutôt amusant parce que j'en ai lu un certain nombre, et un grand nombre de mauvaises comme le critique le dit, et je sais à quoi ça ressemble.

Enfin je ne suis pas la seule à avoir été écorchée par cette critique et ne veux pas trop m'attarder là-dessus, d'autant plus que ce n'est pas une critique très constructive.

Voilà, voilà.

Bifrost n'est jamais constructif. Je te propose, selon ta sensibilité de :

- rouler la critique, la bourrer d'herbes à ta convenance et la fumer en toute sérénité
- rouler la critique (en boule) et la renvoyer à l'envoyeur
- réduire en poudre la critique, y adjoindre un adjuvant, l'envoyer et suggérer à l'auteur de l'utiliser comme comprimé effervescent contre la
- utiliser la critique en un lieu solitaire et encore...

Un autre chroniqueur de Bifrost avait écrit à mon sujet, voici quelques années : "impossible de finir [ce texte] tant il [contient] d'éléments stylistiques impardonnables."

Et aussi, m'amalgamant avec d'autres auteurs de l'antho, avec lesquels j'étais supposée partager ces défauts : "trop de scènes d'exposition, une écriture visiblement déformée par la pratique du jeu de rôle."

C'était pour la version courte des Débris du Chaudron.

Certes, j'ai progressé par rapport à cette période, mais sans qu'il y ait non plus de grands revirements, notamment au niveau stylistique, hein.

Et puis on s'en fout, écrivons et publions ce qu'on aime, et baste. Il en faut pour tous les goûts, pour toutes les couleurs, Ils ont parfaitement le droit de ne pas aimer les mêmes textes que nous, et on ne fera jamais l'unanimité. Ce qui compte, c'est qu'on y ait mis tout notre coeur et qu'on soit capable de se regarder dans un miroir sans avoir honte de soi-même.

Nedeleg a écrit:

Ce qui compte, c'est [...] qu'on soit capable de se regarder dans un miroir sans avoir honte de soi-même.

Je n'ai pas pu lire les scans. Mais quelque part, cela ne me manque pas... De ce que je sais, Bifrost est une revue qui prend un malin plaisir à descendre les bouquins - perso, ils ne m'intéressent absolument pas et quand j'ai envie de lire un peu d'hjumour bête et méchant, je reprends un vieux numéro de Backstab, mode "courrier des lecteurs".
Je n'ai toujours pas lu toutes les nouvelles des Héritiers, faute de temps, mais je fais confiance à Nathalie et en tant qu'anthologiste, et en tant qu'éditrice. Donc, Eliane, ta réaction est la bonne, ne te laisse pas démonter et passe à autre chose (les critiques d'Actu SF, sévères mais justes, ont bien plus de crédit à mes yeux).
Nathalie, ne te laisse ni abattre, ni toucher, ni démonter - comme d'hab, cela n'en vaut pas la peine. Et puis la critique facile de "elle a monté sa maison pour se publier" est tellement bête... Bref.
Pour terminer : les razzis. Lucie et moi, ça nous fait plutôt rigoler... je crois que c'est comme ça qu'il faut prendre le truc. La seule chose qui nous désole, c'est qu'ils n'aient toujours pas prévu de champagne pour les lauréats.

Passons à une note plus gaie :

Les héritiers d'Homère dans les Chroniques de l'Imaginaire.

(Ce lien ne fonctionnera qu'après visionnage du patron en cours de journée.. patience)

Merci Belgarion pour cette chouette chronique et pour nous avoir classés dans tes coups de coeur !

Bah c'est pas moi qu'il faut remercier, ce sont les auteurs de l'anthologie

Ayant lu (enfin!) Les Héritiers d'Homère pendant mes congés, voici donc mon avis:

de base, je suis passionnée par les mythes de tout pays. J'ai trouvé l'antho de qualité, comme un diamant à multiples facettes : le diamant = les mythes grecs, les facettes = les textes, tous uniques, tous portant un éclairage différent. Certains m'ont moins plu que d'autres, mais je n'en ai détesté aucun, cette différence consistait juste en un "accrochage" moindre (sans doute du à ma sensibilité personnelle, car j'ai trouvé que le niveau global était plutôt bon (très bon même!)

en bref :



Note : le glossaire explicatif à la fin est un plus fort apprécié!